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Publi-reportage
La Nouvelle Toyota Starlet
Depuis que Toyota a lancé la Starlet pour la première fois en 2020, ce modèle a été un ajout très apprécié à la gamme Toyota et largement apprécié dans toute l'Afrique. La nouvelle Starlet promet d'offrir encore plus, avec son extérieur élégant, son habitacle confortable, ses performances puissantes et sa technologie de pointe qui rendent ce nouveau modèle encore plus attrayant.
Design extérieur
Le design extérieur a été amélioré et est maintenant encore plus moderne. Le style avant et arrière révisé rehausse la mise avec des phares élégants à l'avant, des détails chromés, une ligne de toit arrière inclinée avec becquet de coffre et des groupes de feux arrière élégants en deux parties qui complètent le profil à la fois sportif et élégant.
Design d'intérieur
L'intérieur spacieux a été amélioré, avec des lignes d'accentuation plongeantes et des détails bleus.
- Un volant sportif à trois branches avec de grands insignes Toyota et des commutateurs de direction, offre une interface conducteur parfaite.
- Équipé d'un système audio à écran tactile (soit 7 ou 9 pouces) avec Bluetooth y compris chargeur USB arrière.
Moteur et boîte de vitesses
La nouvelle venue bénéficie également d'une amélioration des performances, faisant de chaque trajet une expérience agréable.
- La taille du moteur de l’ancien a été augmentée de 1,4 litre à 1,5 litre, le moteur est plus puissant.
- La nouvelle Starlet propose deux types de transmission, une manuelle à 5 vitesses ou une automatique à 4 vitesses, selon la pente.
Sécurité sûreté
Tous les modèles Starlet sont bien équipés avec une multitude de dispositifs de sécurité protégeant tous les occupants.
- Toutes les versions sont livrées en standard avec des airbags conducteur et passager.
- L'ABS (système de freinage antiblocage) accompagné de l'EBD (distribution électronique de la force de freinage) vous assure également d'être bien soutenu lorsque vous en avez le plus besoin.
- La conduite assistée est également assurée par des capteurs de stationnement arrière (PDC), Hill Assist Control (HAC) et Vehicle Stability Control (VSC).
Toyota offre une extension de garantie spéciale pour la nouvelle Starlet de 5 ans ou 150 000 km, selon la première éventualité.
Prix de base : à partir de 10 900 000 Fcfa.
SES
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BMW XM 2022 : Ce SUV Hybride rechargeable est la BMW M la plus puissante
La gamme de BMW s’étoffe d’un nouveau modèle, et pas n’importe lequel. Le constructeur allemand dévoile le BMW XM, un imposant SUV hybride rechargeable dont le moteur est le plus puissant jamais créé par BMW M, sur la version Label Red. Design, puissance, performances, autonomie électrique, intérieur, aides à la conduite… On vous emmène faire le tour du propriétaire.
Près d’un an après la présentation d’un concept le préfigurant, le BMW XM est enfin dévoilé. Développé par BMW M, ce SUV haute performance est plutôt fidèle au Concept XM en termes de style, mais aussi du côté mécanique. Il embarque en effet une motorisation V8 hybride rechargeable. Et dans une version appelée Label Red, il devient carrément le modèle BMW M le plus puissant jamais fabriqué.
Visuellement, ce nouveau BMW XM tranche avec le reste des productions du constructeur allemand. Massif, le design est caractérisé par une énorme calandre à double haricot cerclée couleur or. Ce même contour peut s’illuminer. La calandre est entourée d’étroits feux de jour LED, ainsi que de prises d’air. La couleur or est aussi présente sur le profil, avec une bande d’accentuation qui entoure les vitres. Le but ? Rappeler la bande noire qui court le long de la carrosserie de la BMW M1, modèle culte de l’histoire de la marque.
Juché sur des jantes alliage M de 21 ou 23 pouces, le BMW XM adopte aussi deux doubles sorties d’échappement hexagonales du côté de sa face arrière. Un diffuseur en partie doré encadre ces canules. D’étroits feux LED relient le hayon aux ailes arrière, et la lunette est carrément ornée de deux logos BMW. Sans doute, là aussi, pour rappeler ceux qui étaient présents à l’arrière de la M1. Le XM mesure 5,11 mètres de long pour 2,005 mètres de large et 1,755 mètre de haut.
Un gros V8 assisté par un moteur électrique
Sous le capot de cet imposant SUV, BMW propose un moteur hybride rechargeable M Hybrid qui développe un total de 653 chevaux pour 800 Nm de couple. 489 chevaux sont générés par un V8 4.4 M TwinPower Turbo, tandis qu’un bloc électrique se charge de fournir 197 chevaux. Une boîte automatique M à huit rapports et une transmission intégrale M xDrive se chargent de transmettre la puissance aux roues. Selon les dires de BMW, le 0 à 100 km/h est abattu en 4,3 secondes. À noter que le SUV pèse tout de même 2 785 kilos.
Un XM surpuissant à venir ultérieurement
À l’automne 2023, BMW prévoit de lancer le XM Label Red, une version plus puissante du SUV. Avec 748 chevaux pour 1 000 Nm de couple, ce modèle doit devenir la voiture de série la plus puissante jamais créée par BMW M. Aucune information sur les performances du XM Label Red ne filtre à l’heure où nous écrivons ces lignes, on sait simplement que son moteur V8 développe 585 chevaux et que son moteur électrique en fournit, là encore, 197.
Quelques dizaines de kilomètres d’autonomie électrique
Hybride rechargeable oblige, le BMW XM est doté d’une batterie. Celle-ci dispose d’une capacité de 25,7 kWh, ce qui permet de profiter d’une autonomie électrique comprise entre 82 et 88 kilomètres selon le cycle d’homologation WLTP. Il est également possible de rouler jusqu’à 140 km/h en mode 100% électrique. La recharge doit être effectuée en courant alternatif (AC) de 7,4 kW maximum, mais d’après BMW, un système de gestion prédictive de la chaleur permet d’optimiser - voire accélérer - la recharge.
Des clapets pour altérer la sonorité du moteur
Pour les conducteurs de modèles BMW M, le son du véhicule est important. BMW dote donc son nouveau SUV d’un échappement sport à clapets réglables en continu via une commande électronique, afin de laisser le V8 rugir ou au contraire le rendre plus silencieux au besoin. Lorsque le mode électrique est enclenché, un système appelé BMW IconicSounds Electric - développé en collaboration avec le compositeur Hans Zimmer - diffuse un son “spécifique M” dès qu’on appuie sur la pédale d’accélérateur.
Un habitacle high-tech et particulièrement cossu
Particulièrement luxueux, l’habitacle du BMW XM semble aussi spacieux grâce à son empattement de 3,105 mètres. On trouve à bord des sièges M multifonctions à dossiers chauffants, des repose-genoux, un ciel de pavillon sculptural ainsi qu’un volant M en cuir. Orienté vers le conducteur, le cockpit est composé du fameux BMW Curved Display, avec un combiné d’instrumentation numérique de 12,3 pouces et un écran tactile de 14,9 pouces. Cette double dalle fonctionne avec le système d’infodivertissement BMW iDrive de dernière génération. Un affichage tête haute est présent pour garder les yeux sur la route en disposant d’informations essentielles.
Quel prix pour le nouveau BMW XM ?
Pour plus de confort, le XM est, de série, équipé de la suspension SelectDrive M Pro à stabilisation active. Le SUV est par ailleurs livré avec des aides à la conduite, comme un avertisseur de risque de collision avant, un avertisseur d’angle mort, une indication des limitations de vitesse, un avertisseur de circulation transversale arrière, un régulateur de vitesse actif avec fonction Stop & Go, et un système de conduite semi-autonome.
Le prix du nouveau BMW XM est fixé à 115 millions de FCFA. Produit au sein de l’usine BMW de Spartanburg (États-Unis) à partir du mois de décembre 2022, le SUV est d’ores et déjà disponible à la commande.
SES
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MG ZS, le SUV 100% électrique Made in China
Jusqu’ici, les constructeurs automobiles éprouvent bien des difficultés à proposer un véhicule électrique fonctionnel, bien équipé et pas trop cher. La solution à ce casse-tête provient peut-être de Chine avec le tout nouveau MG ZS.
Autrefois, de 1924 à 2006, le MG (Morris Garage) était le constructeur automobile britannique de voitures de sport. Reprise en 2006 par le géant shanghaien SAIC Motor UK, filiale du groupe chinois Shanghai Automotive Industry Corporation (SAIC), aujourd’hui le logo octogonal de MG orne un SUV de fabrication chinoise est commercialisé en version électrique. Le MG ZS est donc le premier véhicule « zéro émission » venu de République populaire de Chine à faire son entrée sur le marché mondial de l’automobile.
Côté design, le ZS n’est vraiment pas désagréable à regarder, avec ses multiples inserts chromés, ses jantes découpées, effet aero et sa signature lumineuse LED formant une parenthèse autour des projecteurs ; qui demeurent des halogènes classiques.
A bord, l’œil est pareillement satisfait, grâce à une présentation plutôt moderne, alternant inserts brillants et matériaux mats. L’instrumentation classique – comprenant un compteur de vitesse analogique et un indicateur de puissance et de recharge à la décélération – encadre un ordinateur de bord qui affiche l’autonomie restante… avec des caractères un peu trop petits pour assurer une visibilité parfaite. Le démarrage s’effectue à la pression d’un bouton, tandis que le choix entre les rapports (marche avant, marche arrière, neutre) s’effectue grâce à un sélecteur rotatif.
Le toucher est moins inspirant. Si la coiffe de la planche de bord est moussée, le reste des plastiques durs nous rappellent que nous ne sommes pas dans une Audi. Et ce MG n’a certainement pas l’ambition de jouer dans cette catégorie. On regrettera certaines surfaces sujettes aux griffures (même lorsqu’on les frotte avec une peau de chamois !).
Le ZS propose surtout de vastes bacs de rangements et des prises USB à l’avant comme à l’arrière. Elles permettent d’utiliser les fonctions de votre smartphone sur l’écran central 8 pouces fourni en série. Celui-ci est compatible Apple Car Play et Android Auto. Heureusement d’ailleurs, car le système installé de base par SAIC se distingue surtout par sa lenteur.
A l’arrière, l’espace est plus que généreux, notamment aux genoux. Les postérieurs sont confortablement installés sur une banquette similicuir à l’aspect réussi ; elle est rabattable 60/40. Le coffre affiche une capacité de 448 litres.
L’habitacle est aussi particulièrement lumineux grâce au toit ouvrant panoramique proposé sur le deuxième niveau de finition, nommé Luxury. Pour 1 310 000 Francs CFA de plus, elle propose les jantes de 17 pouces, la reconnaissance des panneaux ou encore le siège conducteur à réglages électriques en plus du pavillon transparent. Selon nos informations, environ huit clients sur dix optent pour cette dotation supérieure. Tous les ZS sont équipés de série de la climatisation (manuelle), du régulateur de vitesse adaptatif du radar de recul. La palette d’équipements est donc très riche dès l’entrée de gamme.
200 kilomètres d’autonomie
Equipée d’une batterie lithium-ion (les cellules sont fournies par un autre géant chinois : CATL) d’une capacité de 44,5 kWh, la ZS EV revendique une autonomie de 263 kilomètres selon le cycle d’homologation WLTP. En conditions réelles, la consommation s’établit autour de 16 à 17 kWh en ville et 19,5 kWh/100 km sur route ou autoroute. En retranchant la réserve tampon, on peut donc compter sur un diamètre d’action de 200 à 230 kilomètres en fonction de la conduite et de l’itinéraire. C’est peu pour un véhicule à vocation familiale. Côté recharge, on est dans les valeurs actuellement référence : 40 minutes suffisent pour « remplir » 80% de la batterie sur un chargeur rapide en courant continu. Sur une wallbox 7 kW, on peut espérer obtenir l’autonomie complète en 7h30. Et sur une prise domestique, 16 heures ont été nécessaires pour revenir à 100 % dans notre parking.
À quelque chose malheur est bon : la capacité réduite des accumulateurs limite la masse à 1,5 tonne. Et les performances en tirent parti. Le moteur synchrone à aimants permanents, niché entre les roues avant, génère 105 kW (143 ch). Le 0 à 100 km/h est bouclé en 8,2 secondes : on s’amuse presque au volant, même si le manque de feeling de la direction ne pousse pas aux excès. Le comportement profite également du poids restreint pour un SUV électrique. S’il prend un roulis considérable lorsqu’on le secoue, le ZS demeure sain et sous-vireur. Le réglage des suspensions, lâche, profite au confort d’un très bon niveau… sauf lorsque l’on roule sur une chaussée très inégale.
On soulignera également que les bruits de roulement sont bien contenus. En revanche, on s’étonne de capter des craquements dans le mobilier… Des rossignols pas du plus bel effet quand le MG espère séduire une clientèle exigeante. Heureusement, le tarif est là pour contrer cette mauvaise impression. Le SUV est facturé 16 millions de Francs CFA.
L’avis de Faso Auto-Moto
Avec ce SUV électrique accessible, fonctionnel et bien équipé, MG s’établit comme un acteur crédible sur le marché automobile mondial. On regrettera seulement l’autonomie limitée.
SES
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Nouvelle BMW Série 4 M440i xDrive
La BMW Série 4 continue son émancipation par rapport à la berline Série 3. Nouveau style, bond technologique et châssis retravaillé, le coupé allemand change en profondeur.
Le coupé chez BMW, c'est une histoire d'amour qui dure depuis des décennies. Surtout quand on évoque la mythique Série 3 et ses nombreuses générations sorties depuis 1975. Quintessence du plaisir de conduite à l'allemande, certains modèles sont même devenus des youngtimers très recherchés, in primis les E30 des années 80-90, surtout en version M. Mais depuis 2013, la Série 3 Coupé s'est émancipée de sa sœur berline en devenant Série4. Si il y a 7 ans, les différences étaient encore peu marquées entre les deux modèles, les nouvelles générations n'ont plus grand-chose à voir.
Le premier élément qui les dissocie est évidemment le fameux double haricot très vertical. Cette calandre, BMW l'avait montrée l'année dernière sur son Concept 4. Certains observateurs avaient alors crié au scandale, d'autres au génie ! Un an plus tard, la voici – un peu moins imposante – sur la version de série. Totalement assumée par la marque, cette calandre se veut être un hommage aux mythiques coupés 328 et 3.0 CSi.
Quoiqu'il en soit, les changements ne s'arrêtent pas à la seule face avant. Le coup de crayon est bien différent de la Série 3 dont elle dérive. Le centre de gravité a été rabaissé (- 2 cm), les grandes prises d'air, les lignes latérales travaillées ou encore le diffuseur en carbone entouré de sorties d'échappements trapézoïdales sur notre variante M440i rajoutent une dose d'élégance et de sportivité.
Impossible aussi de ne pas remarquer que la nouvelle Série 4 a très largement grandi par rapport à sa précédente génération, de quoi la rapprocher de sa grande sœur Série 8 (4,85 m). Plus longue (+ 13 cm à 4,77 m), plus large (+ 3 cm) et plus haute (+ 0,6 cm), elle progresse même au niveau de l'empattement (+ 4 cm). Pas franchement de quoi profiter à l'habitabilité arrière, un adulte d'1,80 m aura un espace aux genoux riquiqui et la tête dans le pavillon.
Après tout, un coupé reste une voiture de célibataire ou de couple. D'ailleurs, BMW a pensé aux week-ends en amoureux puisque le coffre gagne 30 litres supplémentaires en volume de chargement. Concernant ce qui se trouve sous le capot : un 6-cylindres en ligne 3.0 biturbo de 374 ch et 500 Nm de couple. Plus si loin de l’ancienne génération de M4 et ses 431 chevaux.
Moderne grâce à son alterno-démarreur, le moteur est un régal. Souple à bas régime, avec une poussée constante jusqu'à 6.500 tours minutes, il offre de belles performances pour une belle bête de 1.800 kg : 0 à 100 km/h en 4,5 secondes et vitesse maximale de 250 km/h. Le tout dans une très jolie sonorité, et ça on l'avait presque oublié sur les dernières M330i et M135i.
La puissance passe parfaitement aux 4 roues grâce à la transmission intégrale typée propulsion et au différentiel arrière. Le train avant est précis, tout comme la direction qui offre un bon retour d'informations. Au final, la M440i est assez joueuse quoiqu'un peu lourde. De quoi assurer parfaitement l'intérim avant l'arrivée de la sulfureuse version M4 prévue pour l'année prochaine.
Une vraie GT
Car au final, cette Série 4 M440i est une véritable GT. Capable d'être sportive donc, mais aussi confortable grâce notamment à son amortissement piloté (en option). Les commandes sont très douces et l'ensemble moteur-boîte automatique à 8 rapports. Elle est équipée d’une caméra de stationnement 360 degrés (450 €), d’un assistant de marche arrière ou encore d’un assistant d'évitement et de circulation à contre-sens. Des options qui s'ajoutent à une panoplie technologique déjà largement mise à jour.
Prix : 45 millions de Fcfa.
SES
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Hyundai Tucson (2021) : un look ultra-futuriste pour le nouveau suv coréen
Après seulement 5 ans de carrière, le Tucson de 3ème génération est déjà remplacé. La relève s'annonce plus sportive, plus technologique et surtout plus propre avec l'arrivée d'une version hybride.
Le cycle de vie des modèles est court chez Hyundai. C'est la raison pour laquelle c'est déjà une toute nouvelle génération qui prend la relève du précédent Tucson. Et pas question de se contenter d'un gros restylage, tout change pour le nouveau Tucson. Si sa carrière n'a pas été si longue, ce n'est pas à cause d'un échec commercial, au contraire ! Le SUV est même responsable de 25% des ventes de la marque au sein de l'Hexagone. Autant dire que l'enjeux est de taille.
Mais cette nouvelle génération semble avoir été bien travaillée par les designers et ingénieurs de chez Hyundai. D'ailleurs, ce Tucson de nouvelle génération inaugure une nouvelle plate-forme et le tout nouveau design de la marque surnommé « Sensuous Sportiness ». Avec cet esprit sportif et élégant, son nouveau look ne devrait pas passer inaperçu !
Sportivité et modernité
Qu'il s'agisse du look ou des équipements, le bond en avant est tout de suite visible ! Avec sa nouvelle signature lumineuse et sa nouvelle calandre, le nouveau Hyundai Tucson a presque une tête de concept-car. Pourtant il s'agit bien là du modèle de série. Des lignes assez saillantes, des ailes avant et arrière assez larges ainsi qu'un bouclier avant au dessin torturé, pas de doute, le Tucson se veut sportif.
Sur la poupe, on remarque là aussi une nouvelle signature lumineuse composée d'un bandeau qui relie les deux blocs optiques l'un à l'autre. C'est à la mode apparemment chez tous les constructeurs : Seat Tarraco, Volkswagen T-Cross ou encore Porsche Macan et Audi e-tron chez les premiums.
Equipements à la hausse
Le design intérieur est beaucoup moins exubérant, avec plus en finesse. Le style est épuré grâce à un bloc d'instrumentation numérique derrière le volant (de série) et à un système d'info-divertissement de 10,25 pouces sur la console centrale. Outre la technologie, le nouveau Tucson fait également la promesse d'améliorer son habitabilité et ce, même si l'empattement ne s'allonge que d'un centimètre.
Mais ce n'est pas tout ! La dotation de série s'améliore fortement aussi : régulateur de vitesse adaptatif capable d'utiliser les informations de navigation et même la possibilité de faire sortir l'auto d'une place de parking grâce à une télécommande.
Motorisations
Côté mécanique, il y a aussi de la nouveauté avec l'arrivée d'un bloc hybride et d'un hybride rechargeable. Le premier développera 230 chevaux et le second 260 chevaux. Il y aura aussi des moteurs plus conventionnels comme le 1,6 litre T-GDI de 150 chevaux micro-hybride, et un Diesel micro-hybride aussi de 136 chevaux (1,6 litre CRDI).
Les tarifs ne sont pas encore connus, mais le nouveau Tucson fera son apparition dans les concessions d'ici le mois de novembre
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SES
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La nouvelle Audi A3 Sportback
Dans un monde qui évolue rapidement, vous avez besoin d'un compagnon qui soit toujours prêt à relever de nouveaux défis. Avec un design renouvelé et des technologies innovantes telles que l'Audi connect et les aides à la conduite.
Qu'est-ce qui a changé ?
Les designers d'Audi n'ont pas complètement modifié l'A3. Certaines personnes ne remarqueront guère les différences à l'extérieur. En fait, cette génération est juste un peu plus anguleuse. Pour preuve, nous pouvons citer la calandre avant et les feux dont les arêtes sont saillantes. C'est d'ailleurs la première chose qui m'a frappé lorsque j'ai rencontré cette A3 pour la première fois.
L'arrière semble plus moderne, tandis que la version "S line" avec ses sièges sport très confortables (en option) et sa peinture "Tango Red Metallic" (en option également) donnent du piment à la voiture. L'apparence est bien sûr toujours une question de goût, ni fantastique ni désagréable, mais simplement "bonne". Si l'extérieur ne change pas énormément, Audi a fait un travail remarquable à l'intérieur.
Tout est orienté vers le pilote, encore plus que dans la BMW Série 1. Les buses d'aération sont par exemple axées sur le conducteur. Cela peut perturber, car il manque une buse à droite de l'écran tactile de 10,1 pouces, mais on s'y fait. Dans tous les cas, le cockpit de la nouvelle A3 est de meilleure qualité, de plus, il est plus simple à utiliser que celui de la VW Golf 8. Enfin, que cela vous rassure, le constructeur d'Ingolstadt a utilisé des matériaux de meilleure qualité par rapport à ceux que l'on retrouve dans la nouvelle Audi A1.
Il est vrai que certains éléments sont similaires entre les Audi A3 et VW Golf 8. Toutefois, dans l'Audi, il est possible de régler la climatisation grâce à de vrais boutons. Pour augmenter ou baisser le volume, Audi a placé une commande tactile près du levier. Au début, c'est assez perturbant, mais on s'y fait, là aussi. Et puis, il est toujours possible de moduler le volume du son à partir du volant.
En ce qui concerne l'espace, les sièges arrière sont généreux, ce qui laisse aux longues jambes un peu de place avant de toucher le dossier. Le volume du coffre n'a pratiquement pas changé par rapport à l'ancienne A3. La hauteur et l'empattement sont également restés les mêmes, la nouvelle A3 n'a évolué en longueur et en largeur que de trois centimètres.
Le prix
La version 35 TFSI, la moins chère pour l'instant, commence à 20 millions de Fcfa, le 35 TDI coûte au moins 23 millions de Fcfa. Sans trop entrer dans les détails, sachez que pour avoir toutes les options, il faudra dépenser au total plus de 33 millions de Fcfa. Avant de terminer, un petit mot sur la consommation, une moyenne de 5,5 litres aux 100 km.
SES
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Nissan dévoile Ariya, son nouveau SUV 100% électrique
Lors d’une récente conférence en ligne, Nissan a dévoilé l’Ariya, sa nouvelle voiture électrique d’une autonomie de 483 kilomètres.
Nissan revient enfin au véhicule 100% électrique, près de dix ans après la Nissan Leaf. Lors d’une conférence à distance, le constructeur japonais a en effet présenté son nouveau SUV électrique, Nissan Ariya. Ce véhicule sera commercialisé à la fin de l’année 2021. Doté de deux à quatre roues motrices, il s’arme d’une autonomie de route estimée à 482,8 kilomètres et se dote, sous le capot, d’une batterie de 63 kWh ou 87 kWh au choix. Avec l’Ariya, Nissan parie sur la discrétion et la sobriété – un peu à l’image d’Arya Stark de Game of Thrones, que son nom évoque involontairement. L’intérieur de son habitacle en est la preuve : son tableau de bord ne se pare que de deux écrans rectangulaires de 12,3 pouces chacun. Le véhicule est bien sûr connectable à d’autres appareils mobiles. Le conducteur peut aussi interagir directement avec l’assistant intelligent natif de l’Ariya, d’un simple « Hello Nissan » ou « Hey Nissan » pour ajuster la température interne ou sélectionner et lire une musique.
En outre, ce futur SUV 100% électrique s’accompagne d’un nouvel assistant d’aide à la conduite, ProPILOT. Grâce à la vision caméra à 360° du véhicule, ce système intelligent permet de le piloter automatiquement sur les lignes droites ou encore de braquer en urgence devant un piéton. Il donne aussi la possibilité au conducteur de l’Ariya de recevoir des alertes pour ajuster sa tenue de route dans certaines situations ou prévenir d’une collision avec un autre véhicule. Enfin, ProPILOT s’équipe aussi d’une aide active au stationnement, ProPILOT Park. La Nissan Ariya sera commercialisée l’an prochain à un prix de départ d’environ 23 millions de FCFA.
SES
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Nissan Juke 2 : un retour gagnant
Toujours aussi atypique à regarder, mais plus agréable à vivre et à conduire que son prédécesseur, cette deuxième génération de Nissan Juke possède ce qu’il faut pour faire un carton.
On a coutume de dire que la chance sourit aux audacieux. C’est vrai pour Nissan qui a osé enfanter le Juke avec l’immense succès qu’on lui connaît. Neuf ans après, la tâche s’annonce toutefois plus rude pour son successeur pour une raison simple : les concurrents se sont depuis multipliés comme des petits pains. Alors pour faire la différence, ce Juke 2 attaque le problème sur deux fronts. Primo, capitaliser sur ce qui a bien marché avec le premier et deuzio, en corriger les plus gros défauts.
Un look aussi atypique que familier
Assumant le lien de parenté avec son prédécesseur, le nouveau modèle mise toujours sur l’atypique avec son imposante face avant montée sur plusieurs étages, un effet de style qui a depuis fait des petits chez Hyundai. Reste que si l’air de famille avec son prédécesseur est évident, avec notamment des poignées de porte arrière intégrées ou encore un popotin très musclé, le japonais évolue en profondeur avec un gabarit en nette hausse.
Un gabarit en hausse
Plus long (+7,5 cm soit 4,21 m), plus large (+ 3 cm, 1,80 m) et plus haut (+ 3 cm, 1,60 m), le Juke gagne surtout en empattement (+10,6 cm soit 2,64 m) en adoptant une nouvelle plateforme. Cela change tout, absolument tout, tant du point de vue de la conduite que de la vie à bord.
Moins inconfortable
S’il était rigolo à regarder, l’ancien modèle finissait en effet vite par lasser au volant. Inconfortable, il menait la vie rude même si certains pouvaient apprécier son côté "tape-cul", gage de sensations de conduite évoquant l’univers Mini. Si l’on ne peut pas dire qu’il fasse dans le moelleux, surtout lorsqu'il est doté de grandes jantes de 19 pouces comme notre modèle d’essai, le nouveau modèle ne donne plus l’impression que ses amortisseurs sont fourrés au béton. Tolérable, ce confort s’accompagne d’une conduite pas déplaisante avec une prise de roulis bien contenue et un équilibre rassurant.
On peut juste regretter que la direction ne soit toujours pas plus communicative pour bien appréhender les limites d’adhérence. Mais globalement le progrès est là. Seul moteur proposé pour l’instant, le trois-cylindres turbo essence de 117 ch assure quant à lui, sans faire d’étincelles. S’il souffre d’un léger manque de tonus à bas régimes obligeant à jouer de l’embrayage au décollage, ce 1.0 étrenné par la Micra propose des performances décentes malgré une boîte mécanique à six vitesses (une double embrayage sept rapports est proposée en option) à l’étagement long comme un été sans soleil. Bref, à défaut d’être super fun au volant, le Juke progresse dans le bon sens.
Evolution positive à bord
Ce constat vaut aussi dans l'habitacle. Si l’originalité était de mise à bord de l’ancien modèle, il fallait composer avec un duo finition/matériaux peu flatteurs et une banquette arrière aussi accueillante qu’une rame de métro bondée un jour de grève. Faute de présenter des assemblages irréprochables, le poste de conduite du nouveau modèle évolue positivement et il propose évidemment tout l'équipement qu'on attend d’une auto moderne. Y compris des originalités en finition haut de gamme, comme le système haut de gamme hifi Bose avec d’efficaces haut-parleurs intégrés aux appui-têtes avant.
Personnalisable... mais pas pour tous
Dommage en revanche que Nissan ne réserve le programme de personnalisation (bicolore pour l’extérieur et l’intérieur) qu’à la finition haut de gamme N-Design. Ceci dit, le Juke assure l’essentiel en réservant un bien meilleur accueil à ses occupants avec un accès plus aisé derrière où l’on profite, grâce à l’empattement étiré, de davantage de place. Seuls les grands trouveront à y redire lorsque leurs cheveux (pour ceux qui en ont encore) frotteront les côtés du pavillon. C’est la preuve qu’entre l’esprit pratique et le style, le Juke roule toujours sur les traces de son prédécesseur, tout en ajoutant le sérieux qu’il manquait.
Prix
A partir de 14 millions de FCFA pour le modèle Visia, 15 millions de FCFA pour Acenta, 16 millions de FCFA pour N-Connecta, 17 millions de FCFA pour Tekna et 18 millions de FCFA pour N-Design.
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Hyundai Kona Hybrid : tous les ingrédients pour réussir
Après les versions thermiques essence et diesel, le tout électrique, le Kona est commercialisé en format hybride. Avec un équipement et des systèmes de sécurité au top. Et des tarifs compétitifs.
Hyundai fait feu de tout bois. Le constructeur coréen conjugue le présent et l’avenir, en déclinant ses modèles avec toutes les motorisations possibles, afin de répondre aux attentes de la clientèle.
Sorti en 2017 avec des blocs essence et diesel, le Kona, SUV urbain, est revenu l’an passé avec une version 100 % électrique. Il ne restait plus qu’à proposer une variante hybride. C’est chose faite en 2020 avec cette version standard non rechargeable qui emprunte à son aînée Ioniq son ensemble moteur 1,6l de 105 ch. Ce quatre cylindres, secondé par une boîte double embrayage à 6 rapports, est épaulé par un moteur électrique synchrone à aimants permanents de 32 kW (43 ch). La puissance cumulée s’établit à 141 ch avec un couple de 265 Nm.
Tout connecté
À l’intérieur, le Kona Hybrid reprend la présentation des versions thermiques, avec quelques spécificités. Les compteurs et les aérateurs sont entourés de cerclages de couleur, égayant l’ensemble. L’écran tactile de 10,25 pouces accueille un nouveau système multimédia, intégrant l’application Bluelink qui propose de nombreux services connectés.
Depuis son smartphone, le conducteur peut ainsi suivre et gérer sa voiture à distance : géolocalisation, programmation d’un trajet, diagnostic de sécurité, autonomie du véhicule, etc… Le coréen, doté d’un affichage tête haute, et d’infodivertissement de pointe, dispose par ailleurs des derniers systèmes de sécurité active et d’aides à la conduite. Tel l’assistant à l’écoconduite qui permet d’optimiser la consommation ou le dispositif de gestion d’énergie qui régule la charge de la batterie en fonction du parcours enregistré sur le GPS.
Proposé à partir de 18 millions de FCFA, le SUV est bien doté de série (finition Intuitive), avec, entre autres, le système multimédia avec écran tactile, la caméra de recul, la climatisation automatique, l’assistance au maintien de voie, le régulateur-limiteur de vitesse, les rétroviseurs rabattables électriquement, la compatibilité Apple CarPlay et Android Auto, ou les feux de jour à LED.
Sécurisant mais ferme
À l’usage, le Kona Hybrid reste un excellent partenaire, capable d’exécuter presque tout ce que vous lui demandez. Bien sûr, il faut adapter sa conduite dès lors que vous souhaitez "économiser" la batterie. Celle-ci procure un surcroît de puissance ponctuel qui permet d’accélérer vigoureusement sur quelques dizaines de mètres. Tel n’est pas le but de cet hybride qui montre de réelles aptitudes en ville où il est possible de rouler en mode zéro émission. Jusqu’à 50% selon les responsables d’Hyundai.
Ce Kona qui revendique une consommation mixte de 3,9 l, se montre en outre silencieux, maniable, et ne rechigne pas à sortir de sa réserve sur de petites routes. Certes il manque de tonicité pour qui veut effectuer des dépassements rapides, mais il demeure docile et sécurisant, malgré des suspensions un peu fermes.
Polyvalent, il constitue une opportunité pour ceux qui recherchent un petit SUV sobre et bien équipé..
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Nouvelle Jeep Compass 4xe : La légende se réinvente
Le design élégant de la nouvelle Jeep Compass 4xe se prêtera parfaitement à tous les paysages. Que ce soit en milieu rural ou dans un centre-ville, ses lignes ont été dessinées pour être admirées de tous.
PLUS TECHNOLOGIQUE QUE JAMAIS
La nouvelle Jeep 4xe est dotée d’un système hybride rechargeable, comprenant un moteur essence entraînant les roues avant, ainsi qu'un moteur électrique entraînant les roues arrière. Le moteur électrique sera alimenté par une batterie de 11,4 kW qui se recharge durant la conduite via un système de freinage par récupération. Celle-ci peut également se recharger à partir d’une source externe, via une prise électrique. Une fois chargée, la batterie offrira au véhicule une autonomie maximale de 50 km en mode purement électrique.
RECHARGE SIMPLE ET RAPIDE À DOMICILE
Vous souhaitez bénéficier d’une recharge à domicile plus rapide ?
Le Wallbox et les autres accessoires Mopar dédiés vous permettent de recharger la Jeep 4xe hybride rechargeable via un équipement domestique intuitif, tout en réduisant considérablement la durée de la recharge à domicile. Ainsi, vous serez encore plus libre de partir à la recherche de nouvelles aventures.
NOUVELLES COMMANDES INTÉRIEURES
Les modes « Hybrid », « Electric » et « e-Save » sont disponibles.
De plus, le nouveau dispositif Selec-Terrain ajoute une nouvelle fonction exclusive : le mode Sport, permettant d’améliorer les performances d’accélération et la réponse de la direction.
GESTION NOMADE
Avec la nouvelle Jeep 4xe, les informations sont disponibles à tout moment. Grâce au nouveau combiné d’instruments TFT de 7 pouces, vous accédez rapidement et en temps réel aux informations de conduite essentielles du SUV Jeep 4xe. Consultez instantanément le niveau de charge électrique, l’état de recharge de votre SUV hybride rechargeable, le mode de conduite et plus encore. Le tout en restant concentré sur la route.
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Nouvelle Mercedes Classe C : Un vent de nouveauté qui annonce l’avenir
La Classe C enveloppe d’innombrables avancées technologiques dans un style encore plus séduisant pour 2019. La partie inférieure de la carrosserie redessinée, les choix de jantes et l’éclairage intégralement à DEL mettent en valeur sa silhouette élégante et athlétique. En outre, son habitacle acclamé inaugure de nouvelles dimensions en matière de plaisir.
Des écrans géants font de vous le héros de l’action
L’habitacle sensuellement sculpté est à la fois fonctionnel et riche en équipements. Les innovations de pointe s’harmonisent avec cinq options de boiseries finies à la main. Un nouveau groupe d’instruments numériques de 12,3 po et un écran central de 10,25 po sont proposés.
Voyez et soyez vu plus merveilleusement que jamais
De série, les nouveaux phares à DEL multiéléments offrent un éclairage plus lumineux et plus naturel la nuit et se démarquent par un design accrocheur le jour. Le système d’éclairage actif à DEL multifaisceaux livrable en option a une apparence unique et s’adapte aux courbes et aux véhicules qui vous précèdent.
L’audace de séduire
Donnez une allure encore plus musclée à la Classe C en la dotant de l’Ensemble Sport. Celui-ci comprend une carrosserie et des jantes AMG, une calandre à blocs-diamants, ainsi qu’une suspension et des freins sport spécialement mis au point. Ajoutez l’Ensemble Nuit pour orner le tout d’éléments noirs brillants.
Performances
La Classe C n’a pas seulement l’air puissante et sûre d’elle. S’enorgueillissant d’une boîte à 9 rapports, d’une puissance accrue et de l’adhérence toutes saisons que lui confère la traction intégrale 4MATIC de série, elle se démarque par une agilité, une force et une confiance aussi impressionnantes que sa carrosserie musclée.
Plus de puissance pour vous transporter
Pour le nouveau moteur de la C 300, un turbocompresseur à deux volutes, l’injection directe et le réglage des soupapes CAMTRONIC s’associent pour générer une puissance de 255 ch. Libérant tout son couple de 273 lb-pi à partir de seulement 1 800 tr/min, ce moteur se démarque aussi par sa consommation frugale en ville ou sur l’autoroute.
Neuf rapports à votre service
Rapide, souple et intelligente, la transmission 9G-TRONIC aide à maintenir la puissance du moteur turbo à votre disposition. Les palettes de changement de vitesse vous permettent de prendre le contrôle de ses neuf rapports, tandis que trois vitesses surmultipliées garantissent une conduite détendue sur l’autoroute.
Innovation
La Classe C entre dans une nouvelle génération d’innovation, avec une gamme plus évoluée de dispositifs d’aide à la conduite, de nouvelles technologies conviviales et des caractéristiques de luxe plus poussées. Vous pouvez même modifier le style de l’habitacle grâce aux 64 couleurs de l’éclairage d’ambiance à DEL.
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La nouvelle BMW i8 Coupé
L’avenir prend forme – sous les traits de la nouvelle BMW i8 Coupé.
Fascinante et révolutionnaire, elle est prête à réinterpréter dès aujourd’hui la mobilité de demain. Pour un plaisir de conduire inconditionnel jusqu’au bout de la route. Au premier regard, son design iconique provoque une montée d’adrénaline. Son compte-tours s’envole tout aussi vite grâce à ses 374 ch et 570 Nm libérés par le moteur hybride rechargeable innovant. Forte de ces atouts, la nouvelle BMW i8 Coupé accomplit le 0 à 100 km/h en 4,4 secondes. Il ne lui fait pas plus de temps pour entrer dans une nouvelle ère.
UNE PRISE DE POSITION VISUELLE
Arborer ses couleurs et les défendre. En Sophistograu, Kristallweiß, E-Copper ou Doningtongrau – la BMW i8 Coupé fait forte impression dans toutes les déclinaisons de sa palette de teintes.
UNE VISION DU FUTUR
La BMW i8 Coupé revendique sa vocation futuriste jusque dans les moindres détails. Ses lignes innovantes sont l’expression d’un langage plastique particulièrement dynamique. L’avant athlétique fait preuve d’un caractère unique en arborant fièrement la double calandre BMW encadrée de phares Full LED, et intègre la technologie des rideaux d’air «Air Curtains» de conception nouvelle. Prenant naissance sur le capot, la Black Belt caractéristique en forme de V se prolonge sur toute la carrosserie pour souligner la silhouette effilée du véhicule. L’impressionnant design Streamflow optimise l’écoulement du flux d’air avec à la clé un aérodynamisme sans égal. La BMW i8 Coupé représente ainsi la symbiose parfaite entre forme et fonctionnalité qui ne connaît qu'une seule direction : droit devant.
L’INTÉRIEUR CONNECTÉ DE DEMAIN
À l’intérieur également, la BMW i8 Coupé affirme sa singularité. Dès l’entrée à bord, l’esprit intérieur exclusif Accaro Amido/E-Copper ne laisse planer aucun doute à ce sujet. L’aménagement intérieur reprend le dessin dynamique des lignes de la carrosserie pour créer dans tout le poste de conduite une ambiance dynamique futuriste. La console centrale est orientée vers le conducteur et les commandes sont agencées de manière ergonomique – pour une vue parfaite. Les nouveaux sièges sport à réglage électrique procurent un soutien latéral optimal et un confort de haute volée. Dans l’obscurité, l’éclairage intérieur à technologie LED fait régner une ambiance haut de gamme. Les contours des portières, le tableau de bord tout comme la console centrale et le volant peuvent ainsi être mis en valeur par un jeu de couleurs alternant au choix entre bleu Efficient Dynamics, orange et blanc.
LE SUMMUM DE L’EXCLUSIVITÉ
Vivre au plus près l’expérience du futur – avec l’un des quatre esprits intérieurs de la nouvelle BMW i8 Coupé.
LE DYNAMISME RÉINVENTÉ
Avec la BMW i8 Coupé : même le vent a le souffle coupé. Elle le doit non seulement à sa silhouette athlétique mais aussi et surtout à sa carrosserie aérodynamique, à sa structure ultralégère et au design futuriste des feux arrière LED à travers desquels le vent s’engouffre.
Prendre les devants en laissant un minimum derrière soi. Grâce à la gestion intelligente de l’énergie de la BMW i8 Coupé. Elle coordonne l’interaction du moteur électrique et de la batterie avec le moteur à combustion – en visant en permanence une puissance maximale et une consommation minimale. Il en résulte un système Plug-in Hybrid puissant et d’une haute efficience, comme en témoignent avec force les chiffres de la consommation en cycle mixte de seulement 1,9 l/100 km et des émissions de CO2 ramenées à un maximum de 42 g/km.
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